lundi 1 juillet 2019

Le Guatemala et le Rio Dulce




LE GUATEMALA
 ET LE RIO DULCE





Port de Livingston 

Après 100 MN et un mouillage pour la nuit dans la baie de Cabo Très Puntas, nous passons l'entrée de Livingston tôt le matin à marée haute car l'eau manque à cet endroit.
Heureusement Makani II est un dériveur intègral.
Le sondeur s'affole - 1m - 0,90 et ouf ça remonte.

C EST BON, ON EST PASSE

Nous jetons l'ancre vers 9h devant la petite ville. Beaucoup de trafic de bateau à moteur car ce village n'est accessible qu'en bateau.


Appel radio à Raoul notre agent qui arrive 20 minutes plus tard accompagné des autorités.
Ils ne montent pas à bord car notre voilier bouge trop, repartent avec nos passeports et les papiers du voilier sans se faire prier.


Nous accostons en annexe dans le le petit port mais le débarquement n'est pas aisé.
PORT DE LIVINGSTON

Arrêt au DAB pour payer les frais de visa, quelques courses pour le repas du midi
Retour à l'office de Raoul situé à 2 pas du débarcadère pour récupérer nos passeports visés.
LIVINGSTON EST UNE PETITE BOURGEADE TRES SYMPHATIQUE 



Sans tarder, nous levons l'ancre car nous avons peur qu'elle décroche avec cette houle qui grandit.





A NOUS LE RIO DULCE ET SON EAU DOUCE

Nous prenons notre temps pour remonter ce fleuve au moteur. Il y a tellement de choses à admirer - paysage, faune, flore -


Nos corps et nos esprits commencent à se reposer .  Tout est calme et paisible autour de nous, c'est magique.


Lac El Golfete, mouillage à Bahia de Tejano  durant 3jours tellement on s'y sent bien.
ICI AUCUN ACCES PAR LA ROUTE 



Il pleut beaucoup, cela nous permet de commencer a désarmer le voilier.
Rinçage des voiles et des bouts.
L'eau douce est a volonté.

MAKAIN AU MOUILLAGE SUR LE FLEUVE


Promenade en annexe pour visiter les villageois. 



On leur achète des bananes et tous les soirs, un pêcheur vient nous vendre sa friture, un régal.




On est vraiment bien dans ce petit coin du Guatemala.







On lève l'ancre au petit matin et l'on salue les villageois à grands coups de klaxons.
En fin d'après midi, Makani arrive devant la marina de Nanajuana.
Il faut rester vigilant car de nombreux bancs de sable à peine visible nous oblige à sillonner dans les méandres de ce fleuve.



LA MARINA NANAJUANA

Un joli décor pour cette fin de parcours




Il nous reste une quinzaine de jours pour tout ranger, laver et désarmer MAKANI II entre 2 plongeons et quelques apéro autour de la piscine en compagnie de bateaux copains 
dont l'équipage de TRUGAREZ II
que l'on avait laissé au Honduras.

NOUS RENTRONS EN FRANCE MI-JUILLET POUR UN SEJOUR DE TROIS MOIS.
LE TEMPS NECESSAIRE POUR PRENDRE DES DOSES ET DES DOSES DE CALINS 
AUPRES DE NOS FAMILLES






1 commentaire:

  1. Merci pour ces récits... et on se réjouit déjà de lire la suite ;-)

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