Post mis en ligne en Décembre 2019 suite à quelques ennuis techniques
Ile de GUANAJA
Il est 17h et nous sommes en approche de l’île de Guajana, le vent forcit encore.
Il est 17h et nous sommes en approche de l’île de Guajana, le vent forcit encore.
Encore 5Mn et nous pourrons nous mettre à l’abri dans le lagon.
Le capitaine décide de prendre un ris malgré notre arrivée toute proche dans le lagon.
La nuit tombe et le récif est tout prés sur notre tribord.
Après prudence, nous suivons le tracé GPS en comparant notre Garmin et Isailor, on aperçoit les vagues se casser sur les cayes.
Des poteaux blancs marquent ces endroits dangereux mais comme il fait nuit c’est un peu moins facile et un peu plus stressant pour l'équipage.
Une fois dans le lagon, nous jetons l’ancre par 10m de fond en attendant demain.
NOTRE VUE AU LEVER DU JOUR |
MOUILLAGE BIEN ABRITE DE SANDY BAY |
Toute la nuit, le vent souffle fort mais pas de houle donc nous passons une nuit tranquille, mais alarme de mouillage activée par précaution.
Au petit matin, c’est un beau paysage que l’on peut découvrir
Après un bon petit déjeuner, on lève l’ancre pour rejoindre l’îlot central - Bonata - en contournant les récifs.
MAKANI AU MOUILLAGE DEVANT LE PORT DE PECHE POUR EFFECTUER NOTRE CLEARENCE |
Le mouillage des bateaux de passage est situé devant le port de pêche très animé.
En annexe, on rejoint le quai où se trouve le petit bureau de la douane. Un fonctionnaire nous demande de passer d’abord à l’immigration au bout de la rue.
Une maison en bois délabrée et un policier qui refuse dans un premier temps de viser nos passeports car notre clearance est à destination du Guatemala et non du Honduras.
On insiste et c’est possible si l’on rédige en Espagnol une lettre expliquant les raisons de notre escale sur son île.
Après ces formalités, nous retournons voir le douanier qui est formel ; pas question de faire une entrée pour notre voilier même avec cette lettre.
Ordre est donné "Vous levez l'ancre et rejoignez Livingston au Guatemala"
Ordre est donné "Vous levez l'ancre et rejoignez Livingston au Guatemala"
On ne s'affole pas, on fait une jolie promenade histoire de réfléchir sur ce petit îlot où la majorité de la population s'est installée.
L'ambiance est très cool et les habitants très chaleureux. Il faut dire que peu de touristes fréquentent leur petit paradis.
Les maisons sont montées sur pilotis
Le lendemain matin, retour au port Autority pour parlementer. Le douanier reste sur ses positions mais nous accorde cette fois 2 jours supplémentaires toujours sans clearence.
Le policier de l’immigration nous conseille de faire notre sortie à Utila la dernière île du Honduras puisque c’est notre route pour rejoindre le Guatemala.
On s'accorde une journée "off "avant de lever l'ancre pour l'île de Roatan
TRES BON RESTAURANT SUR LES HAUTEURS DE SANDY BAY
UN DROLE D'ARBRE DE NOEL
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NOTRE MAGNIFIQUE MOUILLAGE PAR 3M DE FOND
Les jeunes Français partent aussi car ils sont illégaux,
Venant de la Colombie, ils ne sont pas vaccinés contre la fièvre jaune
Refus des autorités du Honduras.
Ile de ROATAN
Le vent manque cruellement, le capitaine décide de faire escale dans la baie de French Key au Sud de l'île avant que la nuit tombe car la passe n'est pas aisée.
On ouvre l'oeil et Makani avance tout doucement pour gagner le mouillage
juste derrière la barrière de corail.
On descend à terre le long du parc qui accueille beaucoup de touristes.
Surprise, un petit zoo est implanté là, au milieu de nulle part
CES ANIMAUX ONT L'AIR BIEN TRISTE
Le lendemain matin, on met le cap sur West Bay au Nord de l'île. On a bien envie de faire quelques belles plongées.
Le bateau est illégal au Honduras, mais pas l'équipage!
Après avoir exploré les nombreux sites à quelques coups de palmes du voilier, on décide finalement de plonger avec un club local afin d'explorer les sites non accessibles en annexe.
35$ la plongée - on ne va pas se priver -
Ile de UTILA
Comme à chaque fois que l'on accoste dans un nouvel endroit, nous recherchons une connexion wifi.
Ici, ce sera dans un petit café sympathique avec un petit ponton pour laisser notre annexe
On se promène sur l'île en attendant de pouvoir effectuer notre sortie du Honduras, il est temps maintenant.
Le fonctionnaire est malade et il sera peut être là en fin de semaine.
Finalement on arrive à trouver son numéro de téléphone personnel et devant notre insistance sur un whatsApp envoyé, un collègue viendra le lendemain matin de la vile de La Ceiba située en face sur le continent.
Grande surprise devant le modernisme de cette administration - prise d'empreinte digitale, photo et visa de sortie directement imprimé sur notre passeport.
On repense à l'île du Guajana avec son papier carbone.
Une fois nos passeports tamponnés , on prétexte une course urgente à faire et on promet de se présenter en début d'après mdi pour le check-out du bateau au Port Autority.
On profite de la pause déjeuner pour lever l'ancre et quitter discrètement l'île car nous n'avons pas les papiers d'entrée du voilier, donc bien sûr impossible de sortir puisqu'on est cessé de jamais être entré.
Par contre pas de souci pour se rendre au Guatemala, la clearance délivrée aux Grands Caymans est toujours en notre possession.
L'île est moins moderne, la majorité des touristes viennent pour explorer les fonds marins et passer pour la plupart leur niveau de plongée.
Les centres sont nombreux, les prix encore plus bas qu'à Roatan mais pour nous c'est trop commercial.
TERRASSE DU CAFE MARIPOSSA
Comme à chaque fois que l'on accoste dans un nouvel endroit, nous recherchons une connexion wifi.
Ici, ce sera dans un petit café sympathique avec un petit ponton pour laisser notre annexe
On se promène sur l'île en attendant de pouvoir effectuer notre sortie du Honduras, il est temps maintenant.
Le fonctionnaire est malade et il sera peut être là en fin de semaine.
Finalement on arrive à trouver son numéro de téléphone personnel et devant notre insistance sur un whatsApp envoyé, un collègue viendra le lendemain matin de la vile de La Ceiba située en face sur le continent.
Grande surprise devant le modernisme de cette administration - prise d'empreinte digitale, photo et visa de sortie directement imprimé sur notre passeport.
On repense à l'île du Guajana avec son papier carbone.
Une fois nos passeports tamponnés , on prétexte une course urgente à faire et on promet de se présenter en début d'après mdi pour le check-out du bateau au Port Autority.
On profite de la pause déjeuner pour lever l'ancre et quitter discrètement l'île car nous n'avons pas les papiers d'entrée du voilier, donc bien sûr impossible de sortir puisqu'on est cessé de jamais être entré.
Par contre pas de souci pour se rendre au Guatemala, la clearance délivrée aux Grands Caymans est toujours en notre possession.
L'île est moins moderne, la majorité des touristes viennent pour explorer les fonds marins et passer pour la plupart leur niveau de plongée.
Les centres sont nombreux, les prix encore plus bas qu'à Roatan mais pour nous c'est trop commercial.
Pas de voiture sur l'île mais des motos très bruyantes.
Les tuk- tuk transportent marchandises et personnes
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